Des images issues de sources militaires, obtenues par ICI1FO, dévoilent plusieurs corps gisant au sol, identifiés comme des « éléments de Boko Haram ». D’autres sources proches du régime parlent de l’attaque d’un « groupuscule politique ». Le silence du régime et l’agitation de plusieurs de Kaka renforce l’idée d’une mise en scène pour radicaliser le pouvoir.
Cet incident pose de nombreuses interrogations : comment ces individus ont-ils pu pénétrer le périmètre hautement sécurisé de la présidence ? Quel est leur nombre exact ? D’autres infiltrations sont-elles signalées ailleurs dans la capitale ?
Le silence observé jusqu’ici de la part du régime renforce l’incertitude et alimente les spéculations autour de cet événement d’une gravité exceptionnelle.
Pierre le Blanc pour ICI1FO