Le président togolais, Faure Gnassingbé a été d’une grande aide, dans la gestion du conflit qui oppose la CEDEAO et les pays de l’AES. Comme toujours, il use de sa sagesse et de son esprit de rassembleur, de solidarité africaine, pour faire face aux différentes crises qui naissent au sein de la communauté.
Depuis le début de la crise, des éloges à l’égard du président togolais n’ont pas manqué, en raison de la position qu’il a adopté et de son soutien affiché pour les pays de l’AES. S’il a été critiqué par d’autres et traité d’amis des putschistes au départ, le temps a fini par lui donné raison, et sa démarche a été saluée à grande échelle.
Pour la plupart, le seul élucidé et visionnaire parmi les dirigeants de la CEDEAO, est à l’origine de la levée des sanctions infligées aux trois Etats du sahel regroupes dans l’AES. Pour rappel, après sept (07) mois, les lourdes sanctions économiques et financières contre le Niger ont été finalement levées le 24 février dernier, lors d’un sommet extraordinaire tenu au siège de l’organisation, à Abuja au Nigéria.
Y compris celles retenues contre les trois autres pays qui ont connu des changements de régimes. Choisi comme facilitateur pour les négociations entre les deux protagonistes, plusieurs actions ont été menées et des initiatives entreprises pour résoudre la crise CEDEAO-Niger-AES.
Aujourd’hui, la médiation réussie et exemplaire émaillée de solidarité et de fraternité, du président Faure Gnassingbé a été une fois de plus mis en exergue. Par cet acte, S.E.M Faure Gnassingbé a propulsé la diplomatie togolaise sur la scène continentale et internationale.
Pierre le Blanc pour ICI1FO