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Burkina Faso : L’ex régime de Damiba pris entre l’étau d’un activisme bassement mercantile

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Il ne se passe un jour sans que l’on ne jette le regard sur les publications des web-activistes, notamment leurs activités quotidiennes sur les réseaux ( Facebook et WhatsApp). Quelles activités d’ailleurs ?

Par définition l’activisme dans les réseaux n’est tout autre que l’usage des nouvelles plateformes (NTIC) de communication en l’occurrence Facebook, Twitter, télégramme, WhatsApp etc, pour la diffusion d’informations, d’opinions ( critiques). Fini donc le temps des messages papiers jetés dans les rues pour dénoncer ou opiner sur un sujet d’intérêt national. Ce temps est révolu au Burkina Faso depuis l’avènement des réseaux sociaux. Et ce, dans les années 2010 où cet avènement a commencé à prendre place. Mais il faut le dire, les premiers activistes avaient un niveau d’analyse plus avancé et ne tronquaient pas leurs activités contre de l’argent. Ainsi, ICI1FO.COM apprend que c’est le régime de Compaoré qui subi la furie des réseaux sociaux.

Les analyses ont fait place à la délation et au ” mercenariat” pour de l’espèces sonnantes et trébuchantes.

L’insurrection populaire comme en Tunisie a été d’une grande envergure du fait des réseaux sociaux et l’activité de certains leaders sur les réseaux sociaux. Il s’est développé un pluralisme d’opinions tenu par des ” pour” et des ” contre” du régime. Mais cette influence des nouveaux maîtres de l’opinion va se répandre comme une traînée de poudre pendant la transition de 2015. Il eut à cette époque des pseudos activistes qui se sont taillés la part du lion parce que entretenus par des leaders politiques tapis dans l’ombre.

Et au régime Kabore de continuer dans avec l’activisme des jeunes voraces, sans scrupules et sans valeur. Ils gagnaient leurs petits pains la-dans. Une émergence de nouveaux maîtres des réseaux sociaux était visible avec des noms comme Naïm Touré, Aminata Rachow, Ibrahima Maïga, tous entretenus par des politiciens et quelques éléments de l’armée burkinabè. Leur sport favori, c’est faire dans la délation, dénoncer les insuffisances du pouvoir avec l’appui de certains cadres de l’administration publique et des militaires qui fuitaient des informations.

La catastrophe du régime putchiste du colonel Damiba.

Lui Damiba a poussé la bêtise plus loin. Il était de connivence avec des soient disant activistes et les ” graissaient”. Ibrahima Maïga, Rachow, qui sont à l’extérieur du pays sont payés pour faire des basses besognes et soutenir mordicus le régime des pilleurs. Depuis hier, vous aurez compris à travers les déballages du sieur Maïga, activiste en chef dudit régime, qu’en huit ( 8 mois ), Damiba et son clan ont fait pire dans la dilapidation et le pillage des fonds publics. Des activistes qui sont payés à 83 millions, à 50 millions, pour des bêtises pendant que le pauvre soldat et ou VDP meurt, ou se meurt lamentablement sous les balles assassines des terroristes. C’est sans pitié !

Comment peut on imaginer une situation pareille ? Et même que cette bêtise se poursuit quand bien même qu’ils ont été chassés du pouvoir ? À Lomé, des activistes qui s’y rendent pour recevoir leurs rançons. Que c’est dommage !

Il a fallu ce déballage par un activiste qui se dit ” reconverti” pour que l’on comprenne que le Burkina était vraiment dans la merde totale à l’heure où le terrorisme est très ambiant sous nos tropiques. Il reste cependant que la justice doit se saisir pour lancer des mandats d’arrêt à tous ceux qui ont reçu des fonds de ce genre et à tous ceux qui leur ont fait ces dons. Il faut que la loi punisse!

Ira Korotimi pour ICI1FO

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